Voyage de Kiara

La semi-elfe avait beaucoup marché. Et le sol malgré qu'il soit plat, lui donnait mal aux pieds. Jamais d'herbe, seulement du béton, gris, triste. Des voitures, aussi.

Les points serrés, elle progressait au milieu de tout ce monde, c'était bien pire qu'à Todoria. Des humains, partout. Au moins, pas d'elfes.

Elle croisa une espèce de petit être gris qui volait de partout, et tirait les cheveux des passants sans que ceux-ci le voit... Amusée, elle s'arrêta un instant pour l'observer... Le voyant passer à travers un pilier pour s'approcher d'elle, elle se demanda quel genre de bestiole c'était, ça ne ressemblait pas à une fée, ni une ondine...

- Bonjour !! Tu peux me voir, toi, hein ? Ah ah, t'es un peu paumée dans le coin, non ? Moi c'est Microbe, et toi ? s'annonca la petite créature et se posant sur l'épaule de la voyageuse.
- Jolie plume... fit sobrement Kiara avant de reprendre son chemin sans se préoccuper plus que ça de Microbe.
- Oh, tu pense que le silence et l'indifférence me feront taire ? Héhé, il y en a qui ont essayé... Bon courage. On va où ? j'ai pas trop le temps, mon maître m'attends, il peux pas se débrouiller longtemps sans moi, le pauvre petit.

Kiara ne répondit toujours pas, et parvint là où elle avait entendu les hennissements. Au milieu du béton, il y avait pas mal d'équidés, chacun enfermé dans un box. Où étaient les prés et les plaines pour qu'ils vivent en troupeau ?
S'approchant encore, elle vit une jument alezane en liberté au milieu d'une cours, qui ne bougeait pas. Une jeune humaine était assise un peu plus loin, à rire bêtement avec d'autres gamines.

La jeune fille jeta un regard féroce à kiara quand elle s'avença vers la jument. Cette dernière avait l'air blasée, elle dormait.
La semi-elfe se détourna et commenca à se diriger vers l'autre cours quand la jument avança de quelques pas à sa suite.

Aussitôt la jeune crétine d'humaine cria "Kelodie!", se leva avec une motivation surprenante pour venir mettre une claque à la jument en la ramenant vers le mur.

La flèche était prête, mais Kiara attendait que la petite crétine se retourne. Celle-ci le fit un instant plus tard, pour jetter un regard de mépris à la semi-elfe, d'indignation, aussi... Mais étrangement elle changea d'attitude en voyant la corde de l'arc se tendre. Les yeux écarquillés, elle entra dans le box entrouvert et ferma la porte précipitement.
- Microbe ? Ca te dit pas de t'amuser avec la ptite conne cachée ?
- Ca va que ça ressemble pas à un ordre... C partit !

Dans la plus innocente intention d'aider la crétine d'humaine qu'elle aurait bien traversé d'une flèche, Kiara ferma le box de l'extérieur. les amies de la gamine s'étaient envolées rapidement depuis un moment, PSPG passa donc un bon moment dans les copeaux.

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si ça vous rapelle des personnes réelles, c normal. ^^
Pour les non-rêveurs ou Narcoseurs, vous pouvez également participer joyeusement !!

Vodalièn marchait depuis un moment. Dans ses mains jointes, une petite fontaine d'eau semblait surgir, et couler perpétuellement. La jeune fille aimait ce courant doux et l'arrêtait rarement. De plus il lui suffisait de porter à sa bouche ses mains pour se désaltérer, et cela lui était bien utile vu le temps qu'elle passait à se déplacer à pieds.

Plissant les yeux sous le soleil, elle distingua plus loin un nuage de poussière qui se rapprochait. N'étant pas de nature inquiète, elle s'arrêta sans crainte, ne cherchant ni à se dissimuler ni à se mettre en garde, et se contenta de sourire franchement à ce qui s'apprêtait à apparaître devant elle, quoique ce fût.

Celle-Qui-Rêve stoppa net le galop de la pouliche, d'un mouvement de rein, n'agissant qu'un instant sur la longe.
Considérant avec surprise la toute jeune personne devant elle, elle concentra un peu plus longtemps son attention sur les mains de cette dernière, se demandant si c'était une shaman.

- Bonjour !! lanca Vodalièn avec entrain

Celle-Qui-Rêve continua de l'observer, puis descendit de sa monture et s'approcha pour toucher les mains de la jeune-fille, qui, remarqua-t'elle était fort pâle.

(j'ai juste envie de faire des scènes, pas une histoire, ça dérange quelqu'un ? Ah non, c'est vrai, faudrait déjà que quelqu'un visite le forum... (dear Gone je considère comme je l'ai mis dans un autre message que ma liberté de message te tient à coeur donc en tant qu'unique visiteur de ce forum ça te dérange pas))
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La petite fille était dans la cours de récréation. Jouant avec sa copine. Puis les autres enfants l'exclurent dans ce monde d'indifférence où ils la releguaient souvent.
Il avait été peu dificile de se convaincre qu'il n'était pas si mal. Après tout, elle était assez imaginative pour jouer seule.

Je me rapelle du banc rectangulaire, en pierre blanche. Et de la petite fille debout dessus, qui sans savoir d'où lui venait cette envie, décida de voler. Parce que c'est juste ce qu'il fallait faire, là, maintenant.

Mais comment faisait-on pour voler ? Non, la question était sans importance, c'est pourquoi elle ne se la posa pas. regardant droit devant elle, sans rien voir, elle étendit les bras en croix, et aucune impulsion ne fut necessaire, car l'instant suivant, elle flottait dans l'air.

Plongeant vers le sol mais sans crainte, car c'était juste normal, elle remonta tranquillement plus haut, sans aucun effort, sans aucun mouvement. Elle voyait les enfants qui jouaient, eux ne la remarquait pas. Mais aucune importance.
Sa seule idée était de se déplacer dans l'air, ne recherchant aucune sensation particulière, ni vitesse ni direction.
Elle était juste bien.

La sonnerie retentit. Je ne me rapelle plus quel son elle avait. Mais c'était la sonnerie. Les enfants se mettent en rang, deux par deux. On se tenait la main ? Non, il ne me semble pas.

La fillette n'hésita vraiment qu'un infîme instant. c'est l'instant où ma vie a pris une direction précise. En y pensant, non, elle n'a pas hésité. Comme voler était la chose à faire il y a quelques minutes, se mettre en rang était la chose sans aucun doute à faire maintenant.

La petite descendit doucement, et attérit à l'arrière de la file. Puis rentra en classe.

Pendant des années, la fillette ne se posa pas la question. Elle avait volé, tout simplement. Le fait que ce fut réputé impossible et qu'elle n'y parvenait plus n'étaient que remarques futiles. Elle savait ce qu'elle avait fait.
Quand j'ai accepté d'admettre que ce n'était qu'un rêve, ce n'est qu'une partie de moi qui s'est résigné. Je sais ce que j'ai vécu. Les questions se situaient ailleurs... Pourquoi mais pourquoi est-ce que je suis redescendue ? Il aurait suffit que je reste dans l'air, que je quitte la cours et l'école pour que je fuie ce monde. Rien n'aurait été pareil.
Si c'était à refaire, la fillette referait la même chose, mais moi je partirais. J'ai vu le reste... Je partirais, mais pas pour longtemps. Parce que le reste malgré tout ce qu'on en dit, me satisfait, comme la fillette était satisfaite de tout, à l'époque.
Incurable, oui.

Pourtant, pourtant, pourquoi est-ce que je ne peux plus voler ?

( heu on a le droit de servir des PJs ou PNJs des autres?)

après avoir lâchement brûlé le visage de Kiara avec un morceau de bois qui était dans le feu, Katan parti dans le bois pour aller chasser l'ours.

Alors qu'il rampait pour pouvoir rester invisible avec sa cape bleu dans l'hebve verte, un iâtje vit se poser à côté de lui, et Jezz qui était dessus le transperça de son épée en hurlant :

- Tiens morveux, c'était pour la manière dont ta maîtresse m'a traitée.

Jezz partit après son méfait

ARRRGG !
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Kiara qui ne voyait plus rien, mais avait l'habitude, envoya Irithel à la poursuite de Jezz mais pris le temps d'enterrer Katan et d'invoquer Ursus pour qu'il l'accompagne. Elle vit passer près d'elle un lièvre, l'âme de Katan qui partait voyager.

Puis elle invoqua Flampür, qui fût là en un instant et prit place sur son dos. Lors du décollage ils bousculèrent un individu en plein discours enflammé en face d'une assemblée illusoire. Le mage en loques se cogna la tête contre une pierre et une étiquette tomba de sa cape...
Désolée Kilmachin, mais je suis pressée...

Retrouvant facilement Jezz qui s'était caché sur un îlot désert au milieu d'un lac, elle s'aprêtait à vider son carquois sur lui quand elle distingua une autre aura marron qui arrivait.

Kilimandor qui rageait d'avoir été coupé en pleine inspiration cherchait quelqu'un pour se calmer, car à son réveil tous ses accolytes avaient disparus. Il traversa le lac en marchant, un léger souffle le portait à quelques centimêtres de l'eau.
Parvenu vers Jezz qui continuait à baisser la tête pour ne pas être repéré, il lança quinze puissantes attaques, comme il en avait l'habitude, car sa confiance en ses pouvoirs était toujours remise en question, et ricana d'avance.

Jezz n'avait rien vu ni entendu. Pour être plus silencieux, il se bouchait les oreilles, et afin qu'on le vit moins il fermait les yeux. Mais soudain il sentit une mèche rebelle se poser sur son front.
Ah !! Encore ces satanés cheveux ! Cédant à son obsession, il se redressa, sa tête se retrouvant en pleine trajectoire des attaques, et sortit un miroir pour se recoiffer.

Il faut croire que le miroir possédait d'étranges pouvoirs, car toutes les attaques ricochèrent sur son dos, et le mage fut foudroyé sans trouver le temps de dire : "haha, je suis le plus puissant !" ce qui pourtant lui prenait très peu de temps.

Kiara n'avait pas réagit, n'avait pas reconnu l'homme qu'elle avait renversé il y a peu, mais après que tout se fut calmé, vida tout de même son carquois de flèches sur Jezz, qui mourru plein de fautes d'orthographes et de syntaxes, comme il en avait l'habitude.

NOOOOOOOOOOOON

Émergeant de son sommeil divin, Thanatos, en ne percevant plus l'aura de son Kiki, se téléporta à l'endroit où elle avait disparu...
Très faché de voir que sa marionnette avait été tué par inadvertence par un être humain dont le quotient intellectuel était inférieur à celui de Nurma Dubois il voulu le tuer...Mais il s'aperçut qu'il était déjà mort après avoir maché sa tête trois fois... Thanatos, dont la rage meurtrière n'était pas moins forte, se retourna vers les être vivant dans son sillage. Il vit une semi-elfe qui avait le visage en cloque, ce qui lui donnait un air de hamster.

Il en eu assez et lui dit:

Meurt!

les pouvoirs de Thanatos à peine émoustillés par cette attaque ne furent pas satisfait de voir la semi-elfe se trainer au sol en implorant la pitié tout en baisant les pieds du grand Dieu de la mort alors qu'elle agonisait visiblement dans un élan de souffrance trop atroce pour qu'elle y survive plus de 10 secondes (ce qu'elle ne fit pas).

Alors, dans un élan encore plus élanesque que le précédent, Thanatos décida de tuer tous les animaux de la semi-elfe, il commença par Irithel, puis amaroq et tout les autres, les serpents, l'écureuil, le fauteuil de sa mère, tout y passa...après, il recueilli le lapin dans lequelle voyageait l'âme de Katan et le sacrifia sur un autel afin de ressucité Kilmandor qui, après toute cette aventure parti dans un dlire philosophique en disant:


Mais par quel étrange pouvoir le destin m'a-t-il permit de survivre à cette catastrophe...Ce que je suis fort tout de même...

hésite à éditer hésite à éditer... mais non. mais t vraiment un sale mioche.

Luciole (la rêveuse, pas la vraie ni la jument qui a fait un passage sur Anathor) trouvait que c'était un peu facile... Mais bon, elle ne veut pas céder au côté obscur de la force, néanmoins ça lui rapelle une discussion avec Mokky à propos de Janan et du regretté Irithel paix à son âme.
Elle contemple l'écran...

Dans les profondeurs d'Anathor, là où personne n'aurait imaginé que quoi que ce soit puisse survivre, un enfant est né. Son corps est frêle, maladif. Il est né aveugle et muet, car il n'y a rien à voir ni personne à qui parler.
Nul ne sait par quel malsaine malédiction ce rejetton solitaire est apparu. Ni comment il survit. Mais il y parvint, et quelques années plus tard, creusa la terre meuble et les rochers pour sortir.

Il ne savait pas pourquoi, au juste. Mais se poser des questions n'était pas dans sa nature. La découverte de l'extérieur ne l'émut que peu, puisqu'il ne sentait même pas la châleur du soleil, voyait encore moins la lumière dont l'astre innondait le monde.

Il se déplaca rapidement, à quatres pattes, et s'enterra en une minute dans un terrier qu'il creusa de ses mains. Puis il s'endormit.

Bon d'accord...
alors le héros Jezz Aark passa par là et il ressucita tout le monde...voilà, mais otut le monde avait tout oublié...

Griloam ouvre une nouvelle fois son porte-monnaie... Verse toutes les pièces dans sa main, et sent de nouveau le froid l'envahir. Heureusement ses écouteurs fonctionnent à plein régime, et il se calme en murmurant "plus d'un million d'années... et toujours en été". Seulement le fait est là : il lui manque 1euro.

La petite pile représentée sur son balladeur est imperturbable, et continue à clignoter. Bientôt il s'éteindrait, et Griloam avec. Que faire ?
Le gamin sentait ses forces le quitter. Déjà la voix du chanteur se faisait moins forte, les guitares moins présentes. "knock knock knock on heavens doooorss... ohooohh yeah"

Ses pas le ramènent devant le rayon, mais les piles les moins chères le sont encore trop. Ca ne peut pas s'acheter une par une ? S'il demandait... Mais il n'a pas assez d'audace pour ça.

Il sort du magasin, "hmm hmm well shadowwws" interprétant les paroles comme ils les entends. Soudain une idée le traverse comme une illumination. il marche le plus rapidement possible, sans secouer son balladeur pour ne pas couper la musique. "erh hey j'suis las mais hélas pour toi... hmm... ici ou ailleurs!" et parvient à son objectif pendant que le son continue de diminuer dans ses oreilles.

Maintenant il est plus tranquille. Il reprends une marche normale pour monter à l'étage, et cherche "got to..."un rayon particulier, puisqu'il a le choix, à présent, et encore un peu de temps devant lui... "no I run from you" ... "Aho, tainted love"...l'opération qu'il s'apprête à faire est délicate, mais puisqu'il le faut... Griloam attends tout de même la fin de la chanson.

Avant qu'elle soit tout à fait finie, il décroche un des casques, pour que la machine enclenche le cd. Finallement il a le temps d'entamer une nouvelle chanson avant que ce soit fait. Imago démarre, la tête de Griloam suit le ryhtme, avant de placer le casque par dessus ses écouteurs. Enfin il peut éteindre le balladeur, et il ne reste plus qu'à espérer que le repos lui rende assez d'énergie pour qu'à la fermeture du magasin il tienne jusqu'à l'appart. Sinon...

Ca lui était arrivé d'un seul coup. Du moins c'est l'impression qu'elle en gardait. Car ce n'était pas une journée spéciale, ni même une nuit, qu'elle en avait pris conscience progressivement, mais en quelques secondes, aussi rapidement qu'on éteint la lumière.

Elle ne pouvait plus supporter ça. Pourtant c'était son univers, ses pensées, sa façon de voir les choses. Est-il possible de changer autant sans s'en rendre compte ? Et d'en avoir peur ? Elle aurait bien voulu jouer encore. Se dire que c'était juste un passage, et qu'en laissant passer le temps son insousciance reviendrait, comme toujours.
Mais un mur épai barrait le chemin d'où elle était arrivée.

Et le pire, c'est qu'elle ne s'en allarmait pas. Elle avait souvent entendu le mur se bâtir, mais quand elle se retournait, il disparaisssait, juste parce qu'elle le voulait. C'était facile. Cette fois encore, elle le savait. Elle le sentait lui couper irrémédiablement le chemin. Mais pourquoi alors ne se retournait-elle pas ?

Le pouvait-elle ? Oui. Aussi sûr qu'elle pouvait l'être, tout aurait pu continuer comme avant. Alors ? Alors elle ne voulait plus jouer. Parce que tout aurait continué, mais c'était un rôle qu'elle aurait pris. Et tout comme elle avait refusé longtemps de jouer pour avancer sur le chemin où elle se trouvait maintenant, elle refuse maintenant de jouer pour ne pas le prendre.

Elle est triste. Parce que c'était bien, avant. Si calme, si doux et tranquille. Tout ce qu'elle voulait. Vraiment ? Oui. Elle n'aspirait vraiment qu'à ça. Mais voilà, pour avoir le même résultat maintenant elle avait d'autres choses à faire. Est-ce le fait que ça l'obligeait à passer sur ce chemin tant redouté auparavant qui la rend si triste ? Oui, probablement. Après tout suivre les couloirs fermés, ça n'a jamais été sa passion. Et c'est probablement pour ça aussi, pour arrêter de regretter le ciel et se concentrer sur la porte, là-bas, que le mur s'est rabattu.

Je n'aime pas réagir comme je l'ai fait. On aurait vraiment dit une personne que j'ai toujours espérer ne pas devenir. Et ce n'est pas ce que je pensais non plus. Mais ça ne change pas le fait que je l'ai écrit. Rien n'a changé au fond de moi. Mais je suis entrée dans ce couloir. Et le traverser me rends jalouse de ceux qui le refusent encore. Et aigrie, donc.
J'aimais entendre tout ça, je suis toujours d'accord. Mais j'ai l'impression de ne plus pouvoir le supporter. C'est toujours la même chose, et ça résonne comme des lamentations maintenant.

"Sales humains, sale monde, on m'aura pas... "
Et j'aime pas les lamentations. je n'ai jamais aimé ça. A moins qu'elle servent vraiment à quelque chose.
Et moi on m'a eu. Et je le regrette moins que je pensais. Et je m'en veux de ne pas le regretter plus. Mais voilà, entre continuer à m'en vouloir pour ça ou bien mettre mon énergie à passer ce fichu couloir pour pouvoir de nouveau voir le ciel, j'ai choisi. Le mur cédera de lui-même, plus tard. Et j'entends encore ce qui se passe derrière. Il n'est pas si épais que ça, en fait. D'ailleurs des choses sont passées avec moi, heureusement, et m'accompagnent.
Et il est là. Ca suffit.