jeux d'un dimanche aprèm

Vous connaissez le jeu du courrier ? Faut être au moins 2. En fait on prends chacun un ptit tas de feuilles, pi on commence à rédiger une lettre, à n'importe qui, en étant qui on veut.
Ensuite on échange le courrier, et réponds à la lettre que l'autre vient d'écrire.

J'aime bien, ça fait pleeeeiiinnn de temps que j'y ai pas joué. Depuis le collège.

Mais finallement on a pas joué à ça, on a fait une histoire à plusieurs mains. Pas quand on cache ce qu'on vient d'écrire, mais juste écrire 5 lignes chacunes puis continuer sur le passage de l'autre.

Donc voilà ce que ça a donné, pour Kam et moi, hier. (Et mon frère au bout d'un moment). On avoue (t'avoue aussi Kam, hein ?) que c plutôt n'importe nawak, mais c pas grave, ct great à faire.


La grenouille mutante sauta du balcon d'un bond agile et atterit dans la piscine des voisins. Elle s'y ébroua, fit quelques brasses et pour finir, recracha le cocon dans lequel son humain était enfermé. Elle déroula la chrysalide et aspergea le petit garçon d'eau fraîche afin de le réveiller. Celui-ci reprit peu à peu ses esprits. Le travail de la grenouille était terminé. Elle déploya ses ailes, sortit la langue qui lui servait de gouvernail et s'envola.

L'enfant la suivit du regard. Toute sa vie il se demanderait pourquoi un chewing-gum à la menthe ramolli muni d'ailes l'avait laissé à côté d'une piscine... Mais le jour même, il eu d'abord à penser à se mettre à l'abri du chien noir qui débarqua rapidement en jappant. Heureusement un lézard compatissant qui habitait le coin lui indiqua un passage dans la haie et tous les deux rejoignirent le jardin des gouttes.

L'arrivée d'un petit humain mit les habitants du jardin en émoi... Cela faisait deux siècles qu'on n'en avait plus vu dans les parages ! Les lutins gardiens courrurent avertir... Zinéa de l'arrivée de ce phénomène. La jeune Ki'hèm qui malgré sa transformation, avait conservé sa place au sénat, organisa une réunion extraordinaire. Pendant que les politiciens s'affairaient, l'objet de toute cette agitation avait été pris en chare par des elfes nourriciers.

Le lézard responsable de tout ce bazar s'était discrètement éclipsé. Le petit garçon se laissait trimballer de dahlia en t'ulipe, et avalait sans se poser de question les différents nectars qu'on lui mettait devant les lèvres. Mais les elfes nourriciers commençaient à se poser des questions, le gamin ne prenait pas cette couleur bleutée des êtres rassasiés... Pourtant il avait déjà bu assez pour un mois ! Les réserves n'étaient pas illimités. Un des elfes fut envoyé auprès de Zinéa, désigné d'office, car la déranger en plein conseil n'était pas tâche agréable.

Il courut jusqu'au Palais, inspira un grand coup et poussa la porte de la salle du conseil d'un air qui se voulait décidé. Trois mille paires d'yeux le fixèrent instantannément. Il faut dire que s'il ne s'était pas pris les peids dans le tapis et n'était pas allé s'écraser dix mètres plus bas, cela aurait facilité la discrétion. Zinéa, pas plus émue que ça, ordonna qu'on nettoie la flaque de sang et qu'on mette à nu les circuits de l'elfe afin de savoir pourquoi il était venu jusqu'ici.

Les sorciers émettaient des ondes négatives, hostiles, comme d'habitude. Ce qui aurait été choquant, c'est qu'ils proposent des solutions, plutôt qu'une absurde blocage massif. Mais allez expliquez ça à une assemblée de sorciers bornés. Zinéa laissait donc voguer les courants psychiques qui s'entrechoquaient au-dessus de leurs têtes. Le décircuitage terminé, un des savants lui apporta le message. La tête inexpressive de la dragonne parvint à faire passer un semblant d'exaspération. "Quels idiots..." Plantant là le conseil, elle vola jusqu'au petit Homme.

Il dormait à l'ombre d'un saule pleureur. Elle se posa à ses côtés en prenant bien soin de ne pas le réveiller. Zinéa se renseigna sur les conditions d'arrivée du garçon auprès des elfes puis décida qu'il falalit bien savoir d'où il venait. Tandis qu'elle réfléchissait, elle s'aperçut que le bébé semblait légèrement coupé en deux... Elle s'approcha du petit corps et vit que ce n'était pas qu'une impression : les elfes avaient tenté de le décircuiter !

La forêt ouest du jardin des gouttes fut entièrement brûlée l'instant suivant, tous les elfes présents y compris. Un soupir de l'enfant fit calmer le feu qui lui sortait de la geule. Elle n'avait pas peur de contredire sa nature de dragon en laissant des sentiments futiles l'envahir. Après tout, cramer quelques hectares et quelques elfes idiots (si vous leur demandez, les elfes nieront que cela soit possible, un elfe idiot. Zinéa venait pourtant d'en réduire une vingtaine en cendres) défoulait bien.

Le problème était que, conformément à la coutume, les elfes brûlés avaient laissé place à des meringues géantes. Mais le gamin se chargea de les manger car la châleur du feu avait réveillé et il avait faim. Zinéa soupira. Ce n'était vraiment pas sa journée. Elle décida d'emmener le garçon chez Malÿa, une elfe moins bête que les autres et en qui elle avait confiance. Elle le prit entre ses serres et s'envola.

Malheureusement en passant au-dessus de l'océan du jardin des gouttes, Zinéa eut un infîme hoquet qui lui fit ouvrir les serres. L'enfant tomba, et sombra sans l'eau sans presque une éclaboussure. La seule trace restant était la teinte pourpre de l'eau, la blessure du gosse n'étant pas encore guérie. La dragonne mis du temps à réagir, non pas par manque de réflèxes, mais le temps de prendre conscience que "ah, si, c'est un peu grave..." Son tempérament de dragon était bien présent.

Elle changea de cap et descencdit en cercles concentriques en direction de l'eau. Elle qui n'aimait pas l'eau, elle allait devoir plonger en plein océan pour empêcher un gamin coupé en deux de mourrir noyé ! Elle inspira un grand coup, plongea en piqué et prit de la vitesse. L'eau la rafraîchit. Ell nagea jusqu'au sable, où l'humain s'était échoué. Elle essaya de le saisir entre ses serres, mais elle s'aperçut qu'elle avait des mains ! Des mains d'humaine ! Et mince... Elle avait oublié qu'à chaque fois qu'elle se mouillait, elle se transformait en sirène. Elle eut envie de remonter à la surface et de laisser le gosse là, mais elle n'en fit rien.

Et pour cause, un requin lui tenait la nageoire caudale fermement entre les mâchoires. L'enfant lui aussi s'était quelque peu métamorphosé, des branchies étaient apparues, en fait les initiés auraient reconnu un Zora, mais Zinéa n'avait jamais joué à Zelda. Les Zoras étaient forts, le bébé avait largement les capacités pour débarraser la sirène du requin, mais il sourit, se souvenant de la chute récente, et s'en fut vers de nouvelles aventures. Zinéa fonça les sourcils et tout à sa rage contre l'ingratitude des gones, atteignit d'un bon direct le requin et l'assoma.

Et là, stupéfaction, le requin se transforma en vieux pépé. Vu que le gamin était partit, Zinéa décida de remonter le pépé. Les seules informations qu'elle lui soutira étaient qu'il s'appelait Pépé, et qu'il était vieux. Bref, ça cassait pas trois pattes à un canard. Justement, un canard passait par là, et comme Zinéa était un peu fatiguée, ils le prirent comme monture.

Le canard leur dit s'apeller Goerges, et qu'il allait dans les Plaines de l'Ouest pour rencontrer Cendrillon. Zinéa et Pépé trouvèrent cela très intéressant et décidèrent de l'y accompagner. Ils se mirent donc en route. Heureusement que le canard avait un GPS parce que Zinéa n'avait pas le sens de l'orientation du tout !

Goerges se mit à chanter pour accompagner la fin du voyage. Seulement c'était très laid, comme chant, ce qui fait que Pépé sortit le deltaplane qu'il gardait dans une de ses poches et sauta du dos du canard. Zinéa soupira et s'installa plus confortablement. Déjà, seule sur un canard on a du mal à prendre ses aises, mais à deux, c'est moyen, vraiment.
"Goerges ?" lança t'elle au canard.
"Mhh ?"
"Il faut se taire, maintenant !"
Le canard refusant d'obtempérer, la sirène dtacha un des chouchous Barbie qui tenaient ses cheveux et entoura le bec de Goerges avec. Il n'avait pas l'air ravit, mais comme il ne pouvait plus rien dire, peu importait.

(on a du arrêter là)

L'encre ne coulait décidément plus. Olivier se pencha vers son voisin pour lui demander une cartouche neuve. La voix imparable de l'examinateur s'éleva : "Si vous voulez qu'on vous laisse pour mieux partager votre devoir, il suffit de le dire !"
Les explications ne furent guères utiles. Olivier rentra chez lui avec une mauvaise nouvelle de plus. Il s'en serait bien passé. Préparant une tournure diplomatique, il poussa la porte et avandonna son sac dans l'entrée.

Ses parents n'étaient pas encore rentrés et il s'en réjouit. Cela lui laissait un peu plus de répit afin de préparer son plaidoyer. Il alla s'affaler sur son lit, mit la musique volume maximal et commença à rêver. Il avait besoin de réconfort et cela, seule Kryzalide sa chimère, était capable de lui fournir.

Elle arriva par la fenêtre, mais Oliv' était trop soucieux pour faire semblant de la croire matérielle. Il fit un geste las vers elle, et kryzalide s'évapora un instant avant d'apparaître près du lit. Elle aurait aussi pu passer à travers le mur, mais il fallait varier un peu. Ses yeux d'or le couvaient à présent avec l'infinie compréhension et patience qu'elle montrait toujours. Il mit une option sur la vérité, àprès tout il y avait de pires crimes que demander une cartouche... "ils l'ont retrouvé ?" demanda le garçon à la créature.

"Non, répondit celle-ci. Aucune trace de lui ni de son dragon. L'Impératrice commence à paniquer et cela s'est répercuté sur toute la population. ici, on parle d'attaque des Sabliers. Là, d'une rebellion des Dragons...
En disant ces mots, Kryzalide avait pris un air abattu et ses beaux yeux mauves s'étaient voilés de tristesse. Chaque mot faisait trembler Olivier. Voir son univers s'effondrer peu à peu sans pouvoir rien faire lui brisait le coeur. Qu'était-ce qu'un examen raté à côté de cela ?

"Ca ne vient pas des dragons..." oliv' avait parlé avec un groupe de jeunes drags il y avait moins d'une semaine. De ceux qui savaient tout ce qui se passait dans leur royaume. "Viens, on va faire un tour chez les Sabliers". le garçon se leva, la détermination avait rendu l'énergie qui lui manquait. les explications ne seraient pas plus dures plus tard, il laissa un mot à ses parents en invoquant une séance de ciné. Attrapant une aile de Kryzalide, les deux s'envolèrent par la fenêtre. vers là-bas.

Voler avec sa chimère était pour Olivier un plaisir incommensurable dont il ne se lassait pas. Mais aujourd'hui, il n'avait pas la tête à ça. Toute son énergie mentale était dirigée vers le Désert du Sanku, où les Sabliers avaient élu résidence. Il les localisa et Krysalide piqua vers le sol. Ses ailes repliées pour mieux fendre l'air.

Des formes impressionantes surgissaient, confondues avec le sable de loin, mais de plus en plus nettes au fur et à mesure. Ils se posèrent devant l'un des Sabliers, un qui avait de l'influence. Cela se reconnaissait à l'insine gravé dans son bois. le silence qui s'ensuivit était habituel, et Oliv' s'assit en se préparant à ne pas donner le moindre signe d'impatience. Deux jours passèrent. Le matin du troisième jour, un grain de sable passa de haut en bas du Sablier. Oliv'hocha la tête d'un air entendu.

Un guerrier Korn apparut. Olivier se leva et lui emboîta le pas, suivit de Kryzalide. Ils arrivèrent devant Xyz, le supérieur de tous les guerriers et des Sabliers. Ils s'inclinèrent puis allèrent s'assoeir à ses côtés dans la salle du conseil où les Chefs Korns siégaient déjà.

Kryzalide dû rester hors de la salle, à cause du panneau "interdit aux chimères" fraîchement collé à la façade... Oliv' tilta, on aurait bien dit un piège mais il n'avait pas le choix. Si, on a toujours le choix mais il voulait se rendre compte par lui-même. En pénétrant dans le lieu sacré, il eut un chox. Plus de chaise disponible pour lui ! Cela pouvait se concevoir, sachant qu'il n'y avait en fait aucune chaise, les Sabliers ne s'asseyant pas. Mais c'était un vrai manque de respect !

Olivier serra les poings et contacta Kryzalide mentalement. "tiens toi prête à décoller, je flaire un mauvais coup."
Il disparut derrière un rideau et revint avec une chaise, puis s'installa tant bien que mal entre deux guerriers à l'air peu avenant. Le conseil pouvait commencer.

Et cela ne tarda pas. Stu prit la parole, avec de gros mouvements de sable qu'Oliv' trouva d'emblée exagéré. Mais il n'aimait pas ce Sablier, de toute façon. Le regardant de travers, il attendit qu'il se calme. Arrivé au terme de son discours, Stu se retourna. le sol trembla pendant un bon moment. Oliv' se leva. Il n'allait pas se laisser secouer puis insulter comme ça. "Je ne vais pas répondre à de telles gamineries. Mais c'est celui qui a dit qui l'est !" Satisfait de sa répartie, il s'attendit à recevoir des excuses.

Nyuk dit, enfin si on peut ainsi dire (ou plutôt écrire) parce qu'il n'avait pas de véritable bouche, encore faudrait-il définir clairement le mot "bouche", donc il émit le son :
"nous les Sabliers, mesureurs du temps, n'avons aucune leçon à recevoir de personne. Nous étions, nous sommes et nous serons !"

Bon, on est pas rendus... pensa Olivier. Il avait la positive attitude, comme à dit M.Patate. Il se sentait au-dessus de tout ça. Un début d'orgeuil ? non ! Jamais. Il se leva, tapa du poing sur la table, bien décidé à se faire entendre et respecter.
"je vais être franc avec vous : je ne vous aime pas, vous et vos manières, je viens d'un autre monde où je suis en exil mais j'ai été envoyé en mission de paix chez vous. la rumeur court que vos troupes ont attaqué un jeune elfe et son dragon. je demande des explications."

Les Sabliers et Oliv' entendirent soudain un "Au secours!", une voix fluette et désespérée venue d'un autre univers. Comme ce n'était pas le sujet de la réunion, pas un seul ne bougea (et Kam, quelque part dans un univers parralèle, dû se débrouiller avec son requin transformé en pépé). Xyz considéra un instant l'assemblée, Olivier, l'araignée qui tissait sa toile puis de nouveau Olivier.
"nous avons quelque peu malmené le jeune elfe effectivement. Il nous avait menacé, enfin, s'était moqué de nous, enfin, était passé un peu trop prêt de chez nous."

"D'ailleurs, rajouta t-il, tu nous regarde depuis un peu trop lontemps..."
"ben vous voulez que je regarde quoi ? L'araignée ? se justifia Olivier"
"Pas d'excuses ! A l'attaque !" Des boules multicolores apparaissaient autours des Sabliers. Ils envoyèrent des rayons sur Olivier qui evitait tant bien que mal (mais surtout mal). il appela Kryzalide qui arriva en trombe, parvint à monter sur elle et fila.

Mais les Korns ne l'entendaient pas de cette oreille. Ils bloquèrent les portes du Ciel et commencèrent à tirer à l'arbalète sur la chimère et son cavalier. Une flèche fatale atteint la chimère. celle-ci s'écroula et s'évapora dans un soffle à l'odeur de rose. Olivier sentit son coeur se décomposer. La douleur et la tristesse l'envahirent. Il se laissa tomber.

-Fin- (triste, isn't it?)
yep... -_- mais je savais que ça finirai comme ça. c'était inscrit dans les étoiles.

Guy Mauve habitait la forêt de Harry Bot. mais il posait régulièrement des questions sur son existence : "pourquoi j'existe ?" "Qu'est ce qui me retient ?" Harry, son ami qui lui voulait du bien, lui dit un jour. "va voir le vieux Nicron, qui habite dans la vieille grotte du côté de la vieille colline, il te racontera des vieilles histoires qui ne répondront pas à tes questions mais qui te feront passer un bon moment !"
Guy fit son sac et partit voir le vieux Nicron.

Il marcha longtemps dans la forêt et croisa le chemin de nombre d'animaux. Guy aimait cela, se sentir en communion avec la nature. Il atteint enfin la cabane de Nicron, perdue au milieu des sous-bois et entourée d'un potager et de fleurs. C'était si calme... Guy s'avança, ouvrit le portillon et frappa à la porte.

Celle-ci s'effondra d'un coup. "Pardon" s'excusa-t'il bien bas, jusqu'à ce que sa mèche rebelle effleure le bois de la porte au sol. Seulement il n'y avait personne... Il hésita un instant, puis s'avança dans la grotte. L'humidité était intense, tellement qu'il avait de l'eau jusqu'aux chevilles.
Nicron apparut soudain d'un trou du sol (qui devait donc être inondé) et Guy répéta son excuse, mais dû éponger sa chevelure ensuite... un filet d'eau glacée lui coulait maintenant dans le dos. Après avoir éternué, il parvint à formuler la question qui ne le lachait pas depuis son arrivée.

"... Ca va ?" Nicron ne lui répondit pas. il le regarda longuement, puis se retourna et couru vers le fond de la grotte. Guy, se sentant d'humeur aventureuse, le suivit en rampant. Puis sentant qu'il se noyait, il décida de marcher normalement. Il marcha longtemps (trois minutes), puis arriva dans une salle avec plein de gens enfermés dans des tubes en verre verts vers la gauche.

AAARG ! Nicron hurla de toute sa bouche. En effet, Guy venait de plonger dans un tube. Il se transforma peu à peu en horrible truc qui ressemblait à Drak Vador. Nicron, atteint par une goutte du liquide, se transforma en Padmé. Les deux compères écroulèrent de rire en se voyant. Mardi Gras était arrivé.

D'ailleurs un groupe d'enfants arrivaient de l'école du quartier. Guy-Dark lança un regard complice à NiPadmé, et chopa le premier gosse par les ailes. L'une d'elles se détacha, le carton n'était pas bien solide, mais le demi-ange-déchu attérit tout de même la tête la première dans l'eau. Explosant de rire, Nipadmé saisit la carapace de la coccinelle qui passait près d'elle et sabota tout le travail de maquillage en l'envoyant rejoindre le demi-ange.
Le tout se finit en gigantesque bataille de grotte, les stalactites et stalagmites pleuvaient. Après quelques heures de vacarme, le dragon se réveilla.

(on a stoppé là aussi)

juste quelques illustrations (oui Kam avait le pouvoir sur mon appareil numérique et même le portable...)

commençons par le plus important : mon jeu préféré !!

le plus gros, hein ? katamino c'est trop amusant pour que j'y joue, et les dames chinoises c'est trop chouette pour que j'y joue. Non, il me faut un truc pour m'endormir, pour me montrer mon inculture cultivée.


La mort du Marsu... il faut savoir qu'il a finit pendu, puis réscuicité, (je sais pas écrire ça) puis qu'il s'est bien vengé avant d'être terrassé pour de bon par Rambo et un chouette jedi. ^__^


Ensuite pendant l'écriture, donc...

Mon frère, venant de débarquer et se demandant s'il est sencé y comprendre quelque chose...



Kam, qui est une personne sérieuse, concentrée dans son travail...
ou pas


Misha, sûrement en train d'écrire quelque chose de sencé et cohérent...

et là pour montrer que ça avait l'air super joyeux, ce jeu


Puis allez, l'oeuvre d'art...

Qui devine ce que c'est ? Bon je reformule. Qui veut se donner la peine d'essayer de deviner ce que c'est ? Kam vous fera l'analyse profonde de sa photo ensuite.

Whaou !!! Géniaaal ! c t trop cool, n'empeche, mm si c parti en live les textes !!! Pour la dernière photo, essayez de deviner, je laisse planer le mystère et durer le sssssussspensss (insoutenable, n'est ce pas ??? Alez, avouez que vous n'en pouvez plus !!!)